Tribute to Canada | Une cérémonie sobre, un ovation monstre


Voilà 50 ans that lasts l’histoire d’amour between Guy Lafleur et les partisans du Canadien. Elle n’est pas près de se terminar.

Posted at 7:47 p.m.
My ajour at 8:25 p.m.

Simon-Olivier Lorange

Simon-Olivier Lorange
the press

The 21,000 people gathered at the Bell Center, Sunday night, ont réservé un ovation de presque 10 minutes au Démon blond, que succombé vendredi à un cancer du poumon.

Par deux fois, l’annonceur maison Michel Lacroix pris la parole dans l’espoir que poursuive la cérémonie protocolaire. Mais rien n’y a fait. Chaque fois, les applaudissements ont redoublé d’ardeur, appuyés par les « Guy ! Guy ! Guy ! » et même les « Olé ! Ole! Ole! ». The electrifying ambiance du moment n’avait rien à envier à eliminatoires series match.


PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Toutes les publicités ont été retirees des bandes ceinturant la glace, laissant place a simple succession of logos du Canadien et d’agrandissements of Lafleur’s signature.

Ces effusions ont fait suite à une célébration toute en sobriété organisée par le Canadien. Toutes les publicités ont été retirees des bandes ceinturant la glace, laissant place a simple succession of logos du Canadien et d’agrandissements of Lafleur’s signature. Pendant la période d’échauffement, les joueurs du CH ne portaient pas leur casque, clin d’œil à celui dont la tignasse au vent est become an integral part of his legend. Les joueurs du CH, comme ceux des Bruins, sont entrés sur la glace dans un silent solennel.





A first montage of photos to défilé sur l’écran géant sur la chanson L’Essentiel, by Ginette Reno. Des extraits sonores d’entrevues avec Lafleur, in surimpression, contributing to the intimacy of the moment. « Jouer au hockey, ce n’est pas un travail, mais un jeu. Il faut s’amuser… et gagner le plus possible! », at-on entendu dire Lafleur dans un éclat de rire.

The piece My way, popularized by Frank Sinatra, bercé le montage suivant, axé surtout sur la performances de Guy Lafleur sur la glace. The final photo of l’ailier droit accompagné de Jean Béliveau et Maurice Richard, suivie d’une image le montrant avec à la main un flambeau, launched l’ovation monstre.


PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Pendant la période d’échauffement, les joueurs du CH ne portaient pas leur casque, clin d’œil à celui dont la tignasse au vent est devenue partie intégrante de sa légende.

Sous les applaudissements et les cris, on apercevait tantôt la bannière number 10 au plafond, tantôt les anciens joueurs de l’équipe, les yeux dans l’eau, réunis derrière le banc de l’équipe.

L’amphithéâtre a été plongé dans le noir pour un moment de silent qu’ont plus ou moins respecté les spectateurs. La vision des lumières de cellulaire était toutefois spectaculaire.

« Ladies and gentlemen: Guy Lafleur! », s’est exclaimed l’annonceur Michel Lacroix in conclusion before s’amorce le match.

Comme un au revoir à celui qui a tant donné pour le Canadien. Mais Certainement pas un adieu.

The ancients in deuil


PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Une douzaine d’anciens joueurs du Canadien ont rencontré les membres des médias une heure avant le match in order to talk de leur grand ami et ex-coéquipier. Temoignages.

Guy Lapointe, Guy Lafleur’s partner pendant 11 seasons

« C’est une grosse perte pour le Québec. C’est irréel, c’est difficile de croire qu’on est rendus là, qu’on est en train de parler de ça. Je veux lui dire qu’on l’aime. He c’était comme un frère. Il était tellement généreux avec tout le monde. Il van nous manquer enormément. The vague de reconnaissance qu’il reçoit ne surprend me pas du tout. Il a toujours été proche du public, he a toujours pris le temps. Il était un exemple pour nous tous. »

Réjean Houle, hanging co-trainer new seasons

« C’est très difficile depuis vendredi, plus plus je prends du recul et je parle à son fils, plus je constate à quel point il était malade, à la fin. Il était tanné de souffrir, il a decided to leave. He in l’aimait beaucoup, notre Flower…

Les gars de troisième et quatrième trio, on n’avait pas la même important que les joueurs de premier plan que étaient de tous les avantages numériques. More Guy ne nous l’a never fait felt. Quand il signait des autographes, il nous passait le calepin après. Chaque fois qu’on avait a point à defend auprès de la direction, c’est lui qui y allait. C’est pour ça qu’on gagnait: on avait des grands joueurs et des joueurs moyens, mais on était unis. Ç’a été une grande période de bonheur.

Ce soir, on veut lui dire merci. Il consacré tellement de temps pour l’organisation et pour nous, les anciens. C’est une perte énorme. On veut le remercier et saluer sa famille of him. Il va rester parmi nous, tout le temps. »

Bob Gainey, co-equipped pendant 11 seasons

« À ce point de nos vies, on a vécu beaucoup de pertes. Also, a week after Mike Bossy… C’est toujours un shock to confirm that cette personne ne sera plus dans nos vies. Ça nous permet de réfléchir et de revivre de bons souvenirs.

C’était notre meilleur joueur, le plus talentueux. Il travaillait aussi fort, sinon plus, que les autres, mais he ne se plaçait jamais au-dessus de nous. Mais dès que le match commençait, on savait qu’il était au-dessus de nous. »

Yvan Cournoyer, pendant coéquipier huit saisons

« Cette édition du club avait gagné cinq coupes avant qu’il llege, et je me souviens d’avoir été tellement content quand il est arrivé! It seems that I know you have a gars comme ça, on allait continuer à gagner des coupes Stanley. C’était impossible qu’on ne gagne plus avec Guy Lafleur… et lui et moi, on a gagné cinq autres coupes !

When he is here with us, he loves avec son casque, et puis, il avait un peu de misère, et les gens commençaient à dire qu’il devrait mieux jouer que ça. At a moment donné, on lui a dit, he enlève ton casque et joue comme tu es able de jouer, tu n’auras plus de problèmes! Au départ, l’ennui, c’est qu’il était au centre, alors que Guy était un ailier droit. When he is there right, and after a while they are casque of him, he is my avoir des saisons de 50 buts! More casque ou pas de casque, Guy, c’était un naturel. »

Lucien Deblois, pendant coéquipier quatre saisons

« Je me souviens de mon premier match contre lui ; j’étais avec les Rangers, Guy était à son apogée, et était au Madison Square Garden. Les gens à MSG ont toujours bien reçu Guy, j’ai été surpris de voir comment les partisans pouvaient bien l’accueillir là-bas. Une de mes premieres presences of him ce soir-là, j’ai commis un revirement et je lui ai donné la rondelle… Heureusement pour moi, il n’a pas marqué! Mais Guy était tellement en avant de tout le monde à cette époque. If it’s about Connor McDavid jouer maintenant, eh well, pour ceux qui n’ont jamais vu Guy, c’était la même chose dans le temps. Il était electrisant, more rapide que tout le monde. Il était une car au-dessus. »

Pierre Bouchard, co-trainer hanging sept seasons

« Lors d’une série en 1977, des joueurs des Bruins avaient miss sa tête à prix, if on veut, ils avaient promis de le brasser au vieux Garden… mais Guy avait continued de jouer comme Guy. Je me souviens, il était un peu nerveux, mais il était tellement bon… alors il a passé à travers ça, et je thought qu’il a eu unae soirée de deux buts et deux pass là-bas.

Lors de la finale de 1976 contre Philadelphie, il avait reçu des menaces de mort, et je pouvais voir de chez moi les voitures de police banalisées devant chez lui. Il se passait quelque chose. Guy ne voulait pas trop en parler, et Jean Béliveau lui avait suggested depart en congé pendant un mois, mais Guy était resté. Later, finally, I will understand that these parieurs criminels are aware that more than l’argent sur les Flyers et qui cherchaient à deconcentrer.

On a battu les Flyers en quatre, alors j’espère que ces gars-là ont tout perdu ! Boy party trop vite. Dans le temps qu’il jouait, il était toujours le premier arrivé au Forum les jours de matches. Là, il est le premier à depart avant les autres… »




Reference-www.lapresse.ca

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